aux affres de minuit, s’éveille l’euphorie. grandiloquence exacerbée en ces lieux de toute beauté, clame l’angleterre sous la grandeur, aux folies de l’autorité. et sous le masque d’un mondain, s’élève royaume des asservis, face à populace dépareillée qui gravite en ces sommets affriolants. des mages aux lointaines contrée, aux flambants politiciens, passant par les reliques d’un ancien monde, et les étoiles du tout nouveau, se fait soirée d’orgueil sous les astres de la prétention, et le sir est de rigueur, quand l’ardeur s’aime à danser, et d’un sourire le futur roi se fait maître de ces lieux, aux élégantes fantaisies, qu’il chante en simples louanges quand le besoin s’en fait. il est serpent des lieux, maître incontesté sur son terrain de chasse, à la pêche aux faveurs, se fait d’une candeur fallacieuse, un prédateur affamé qui agite sous regards attirés le charme d’une femme disparue, de sa réputation sans faille, et de son patrimoine légué. un veuf présupposé, amant en peine qui laisse son nom aux commérages quand chacun ne pense qu’à la tristesse qui doit germer en lui, alors que félin se fait d’un naturel moins éploré, explore ses possibilités, aux occasions bien trop savoureuses pour ne pas y laisser sa trace. n’est pas souverain qui veut, et en son destin proclame ses desseins, homme de foi aux armes dégainées, au sein d’une société qui n’attend qu’à le subir.




saupoudrée de malices, s’en vient la fortune, quand d’un dos sublime, survient le sursaut. un monarque sans dame, qui ne rêve qu’une fois, qui ne désire que mille fois, qu’un unique homme le trouve. aux fables des pécheurs, ravage les récits. n’est plus que simple sorcier aux saveurs inavouées, et les opales s’enivrent de celui qu’il savoure tout en s’approchant. loup dans la bergerie, croise son homologue, une nuée de souvenirs en guise d’avertissement, et la plainte silencieuse de maitresse destinée, sous les phonèmes habiles de sa plus grande erreur. « what a time to shine, and a sight to be seen, mister dumbledore. » n’ose s’en approcher que comme d’un messie, alors que silhouette ravit encore mémoire. au trouble passé d’un avenir cadenassé, rappel à cage dorée face à l’éphèbe aux charmes exquis, s’enquit d’une promesse et s’effondre sous assauts de sa linguale repartie et de ses adieux avertis. une cicatrice grande ouverte aux douleurs incommensurables, que l’éminent de l’est tache d’oublier, ou de guérir avec force de sa volonté, et palabres déguisées qui invitent le bel ami dans une valse qu’il espère encore assez avenante pour ses charmes naturels. « it’s been such a long time, but I never forgot your amazing presence. are you here to celebrate, or to enjoy the free booze ? » se pare d’apparats, l’homme aux milles émois, quand sonne mascarade d’un carde aux cent horreurs qui ne supporte déjà plus cette fausse proximité, inconnue, semblable à gouffre du passé qui ne saurait être franchi, alors que vœu y est. quand bien même c’est son souhait le plus cher, celui de retrouver la clé d’un bonheur oublié. « rhys. » en tombent les masques. car de tous sur cette terre, il est le seul qui compte.